Si vous avez trouvé un chat ou un chien errant, il est important de prendre les mesures appropriées pour assurer la sécurité et du bien-être de l’animal.
Essayez tout d’abord de déterminer si l’animal est en bonne santé, s’il présente des signes de malaise ou s’il semble blessé. Prenez également note de son apparence générale, de sa race et de tout signe distinctif (collier, médaille, tatouage) qui pourrait faciliter son identification.

Assurez votre sécurité. Si l’animal semble agressif, effrayé ou est dans un état de détresse, gardez-vous à distance pour éviter tout accident. Si vous vous sentez en danger ou si l’animal agit de manière imprévisible, contactez les autorités compétentes (police, gendarmerie) pour demander de l’aide.
Protégez l’animal. Si l’animal est docile et semble en bonne santé, vous pouvez essayer de l’approcher doucement en lui parlant calmement pour voir s’il est amical. Si vous parvenez à attraper l’animal, utilisez un collier, une laisse ou un panier de transport pour le maintenir en sécurité.`Identifiez l’animal. Vérifiez s’il porte un collier avec une médaille indiquant ses coordonnées ou un numéro de puce électronique. Si l’animal a une puce électronique, vous pouvez l’amener chez un vétérinaire ou un refuge pour scanner la puce et trouver les informations relative au propriétaire. Si vous ne trouvez aucune identification, vous pouvez signaler l’animal trouvé aux autorités compétentes (police, gendarmerie, mairie) ou le déposer dans un refuge pour animaux où il sera pris en charge.

Il est important de noter que garder l’animal chez vous sans chercher son propriétaire est illégal et peut être considéré comme un vol.

Si vous trouvez un animal sauvage blessé il est important d’agir avec précaution et diligence pour lui venir en aide tout en assurant votre propre sécurité.

Vous trouverez toutes les information nécessaires ici :
https://www.lpo.fr/la-lpo-en-actions/agir-pour-la-faune-en-detresse/secourir-un-animal-sauvage

Une fois que vous avez pris ces précautions et recueillie l’information nécessaire, il est important de faire appel à un spécialiste des oiseaux sauvages.

Vous pouvez contacter le Centre de soins LPO Aquitaine 06.28.01.39.48.

Ne tentez pas de soigner l’animal vous-même : même si vous êtes bien intentionné, il est essentiel de se rappeler que les animaux sauvages nécessitent des soins et un traitement spécialisés. Cela pourrait aggraver ses blessures ou le stresser davantage.

Consultez !
La première chose à faire est d’exclure toute cause médicale sous-jacente qui pourrait être à l’origine de la malpropreté chez votre chat. Des soucis de santé tels qu’une infection urinaire ou une maladie rénale peuvent provoquer une augmentation du la fréquence d’émission des urines ou de la quantité des urines émises. Il sera important de réaliser les tests appropriés pour que la vétérinaire puisse s’orienter vers le traitement approprié pour votre chat.
Par ailleurs assurez vous d’avoir suffisamment de litières : la règle générale est d’avoir une litière de plus que le nombre de chats dans la foyer. La litière doit être placée dans un endroit calme et accessible et être nettoyée régulièrement.

D’autres conseils, astuces et produits adaptés pour résoudre la malpropreté urinaire sont disponibles chez Nature&Vet : passez nous voir à le clinique vétérinaire de Montbrun.

Il est nécessaire de consulter un vétérinaire pour son chiot si la propreté n’est pas acquise autour de ses 6 mois.

Dans tous les cas, certaines étapes clés sont toujours à respecter :

Établir une routine : misez sur une routine de repas, jeu et de sorties régulières pour permettre à votre chiot de comprendre quand il devra se soulager.
Surveiller attentivement : gardez un œil sur votre chiot afin de repérer les signes précurseurs d’une envie pressante. Ces signaux peuvent inclure des reniflements, des tours en rond ou une agitation.
Sortir régulièrement : emmenez votre chiot à l’extérieur pour des pauses pipi fréquentes. Commencez par le sortir toutes les deux heures et augmentez progressivement le temps entre les sorties.
Renforcer les bonnes habitudes : félicitez et récompensez votre chiot avec des friandises, des caresses ou des mots encourageants chaque fois qu’il fait ses besoins dehors. Cela l’incitera à répéter ce comportement.
Ne pas punir : évitez de punir votre chiot en cas d’accident à l’intérieur. Cela risque de le rendre anxieux et d’entraver son apprentissage.
Utiliser une cage de transport ou un enclos : lorsque vous ne pouvez pas surveiller votre chiot, placez-le dans une cage ou un enclos où il ne pourra pas se soulager. Les chiots ont généralement une réticence naturelle à se souiller dans leur propre espace.
Nettoyer les accidents rapidement : si votre chiot fait un accident à l’intérieur, nettoyez-le immédiatement avec un produit enzymatique pour éliminer complètement l’odeur. Cela évitera qu’il y retourne.

Patience et persévérance ! L’apprentissage de la propreté peut prendre du temps. Soyez patient et persévérez dans votre méthode éducative. Votre chiot finira par comprendre et devenir propre.

Et si vous suspectez un retard d’apprentissage, n’hésitez à demander conseil à la clinique.

Pour réduire le stress de votre animal lors des trajets en voiture, ils nécessaire de le familiariser avec votre véhicule.

Laissez-le renifler, s’habituer à l’environnement en faisant en sorte que l’habitable devienne familier pour lui. Commencez par des petits trajets puis augmentez graduellement les distances, au fur et à mesure que votre animal se sent plus à l’aise.

Utilisez une caisse de transport pour les chats et petits chiens et prévoyez un système adapté et sécurisé pour les grands chiens. L’espace disponible doit toujours permettre à l’animal de se tourner et se coucher confortablement.
Couvrez partiellement la caisse des chats et créez un environnement apaisant pour le voyage.

Faites des pauses régulières pour dégourdir les pattes de votre chien et le faire boire. Attention aux chats : gardez toujours votre animal dans sa caisse de transport pendant les pauses, pour éviter qu’il ne s’échappe.

Il est important de signaler que chaque animal réagit différemment au stress et qu’il faut parfois un peu de temps pour familiariser un animal aux les trajets en voiture.

En cas de difficultés persistantes lors des trajets ou en cas de très long trajet prévu, n’hésitez pas à consulter pour recevoir les soins et conseils vétérinaires adaptés.

Le premier réflexe à avoir en cas de problème oculaire est de consulter !

En cas d’écoulement anormal, de rougeur oculaire, de douleur ou de baisse de vision, un examen ophtalmologique avec un matériel vétérinaire adapté est nécessaire.
Il permettra d’évaluer la situation et de proposer la meilleurs gestion possible à l’animal, pour éviter toute gêne inutile.

En attendant le rendez-vous, vous pouvez délicatement irriguer les yeux avec une solution saline stérile.

Petit article du Dr BATAILLE à ce sujet ce sujet :
https://www.vetopedia.fr/urgences-oculaires/.

Avant toute anesthésie il est nécessaire de mettre son animal à jeun.

La nourriture solide doit être retirée à l’animal 12 heures avant l’anesthésie. Cela permet de s’assurer que l’estomac est vide, réduisant ainsi le risque de régurgitation ou d’inhalation de vomissements pendant la procédure anesthésique.

L’eau doit être disponible jusqu’à deux heures avant l’anesthésie pour prévenir la déshydratation, à moins d’indications spécifiques de la vétérinaire.

Il est important de suivre les instructions spécifiques transmises par la vétérinaire lors de la consultation pré-anesthésique car certaines procédures ou conditions médicales peuvent nécessiter des protocoles de mise à jeun différents.

En consultation, et il n’y a pas besoin d’endormir votre petit animal! 😉
Un diagnostic et une palpation sont réalisés avant la pose des aiguilles d’acupuncture, cette dernière pouvant durer entre 20 et 30 min. La plupart des animaux s’apaisent, certains finissent même par s’endormir sur la table… Chaque individu étant différent, je m’adapte au cas par cas donc même si votre animal est stressé, ou peureux la séance lui sera de toute façon bénéfique !

Le but premier étant de rééquilibrer l’animal pour qu’il soit en bonne santé, nous pourrons aussi soulager l’animal en cas de nombreux troubles tels que douleurs, boiteries, anxiété, incontinence urinaire, dermatoses, otites, troubles digestifs chroniques, nerveux etc…

L’animal est détendu, son système immunitaire est stimulé, ses endorphines naturelles sont stimulées. L’acupuncture apporte bien-être et contribue à lutter contre la douleur.

La vétérinaire vous conseillera au mieux pour votre animal mais malgré qu’il existe une grande variété de remèdes on utilisera essentiellement des formulations buvables : préparations liquides faites sur place et sur mesure pour votre animal !